à propos de langue française...
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Mister-Muggles
examinouz
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à propos de langue française...
c'est le camarade Shuyinblitz qui m'y a fait penser avec son dicton de maupassant
alors ici le but c'est de sortir vos meilleur phrases,poèmes,fable,discour de philosophe...en bref tous s'qui est français et qui est stylé...
aller-y défoulé vous (vous avez droit au citation )
j'y commence? a yeah
Douter de tout et croire à tout,deux solution également commode qui nous dispensent de réfléchir.
En général,l'homme se contente de déprécier ce qu'il ne peut pas comprendre,or,une saine philosophie recommande de ne pas nier les faits pour cela seul qu'ils sont opposés à nos idées et a nos théorie mais de chercher à les vérifier.
Henri poincaré,mathématicien du 18/19ème siècle
vala (et j'lai en tête j'vous la re-sort quand vous voulez)
allez arreter de baver,c'est à votre tour maintenan la seule que j'vous autorise pas c'est moin on a de confiture et plus on l'étale
anonyme
alors ici le but c'est de sortir vos meilleur phrases,poèmes,fable,discour de philosophe...en bref tous s'qui est français et qui est stylé...
aller-y défoulé vous (vous avez droit au citation )
j'y commence? a yeah
Douter de tout et croire à tout,deux solution également commode qui nous dispensent de réfléchir.
En général,l'homme se contente de déprécier ce qu'il ne peut pas comprendre,or,une saine philosophie recommande de ne pas nier les faits pour cela seul qu'ils sont opposés à nos idées et a nos théorie mais de chercher à les vérifier.
Henri poincaré,mathématicien du 18/19ème siècle
vala (et j'lai en tête j'vous la re-sort quand vous voulez)
allez arreter de baver,c'est à votre tour maintenan la seule que j'vous autorise pas c'est moin on a de confiture et plus on l'étale
anonyme
examinouz- Président de Fan-club
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Re: à propos de langue française...
Je prend la main:
La nuit tout les chats son gris. Pas les poulets.
Anonyme
Juste pour le fun xD
La nuit tout les chats son gris. Pas les poulets.
Anonyme
Juste pour le fun xD
Re: à propos de langue française...
A mon tour,
Quand tu te sens morveux,mouche-toi! (démerde toi en fait... )
As-tu déja essayé de cracher au dessus de toi? (subis les conséquence de ton acte...)
De la part de Mon cher Professeur d'Espagnol Mr TOKO Raphael,qui nous sort des proverbes de ouf(mais je ne m'en souviens plus) et qui vanne mes camarades d'une mechanceté comique
Quand tu te sens morveux,mouche-toi! (démerde toi en fait... )
As-tu déja essayé de cracher au dessus de toi? (subis les conséquence de ton acte...)
De la part de Mon cher Professeur d'Espagnol Mr TOKO Raphael,qui nous sort des proverbes de ouf(mais je ne m'en souviens plus) et qui vanne mes camarades d'une mechanceté comique
Samsoul- Chevalier de Ratatosk
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Re: à propos de langue française...
Hein qu'elle est bien ma phrase fétiche ? ^^
Elle est tellement vraie... Pour ça que je l'adore !
Allez, une autre...
Qui pisse contre le vent se rince les dents (Et pour ceux qui n'auraient toujours pas compris cette expression plutôt comique, ça veut dire que quand on à fait quelque chose, on en assume els conséquences...) !
De je sais pas trop qui... x]
J'en ai d'autres de Maupassant, je vais attendre avant de tous vous les dire (Il en à pleins c'bonhomme !).
Tchou'
[EDIT] : D'ailleurs, pour ma phrase que j'ai dans ma signature, essayer d'enlever le "LE" au tout début...
J'aime comme ça change la phrase tout à coup...
Elle est tellement vraie... Pour ça que je l'adore !
Allez, une autre...
Qui pisse contre le vent se rince les dents (Et pour ceux qui n'auraient toujours pas compris cette expression plutôt comique, ça veut dire que quand on à fait quelque chose, on en assume els conséquences...) !
De je sais pas trop qui... x]
J'en ai d'autres de Maupassant, je vais attendre avant de tous vous les dire (Il en à pleins c'bonhomme !).
Tchou'
[EDIT] : D'ailleurs, pour ma phrase que j'ai dans ma signature, essayer d'enlever le "LE" au tout début...
J'aime comme ça change la phrase tout à coup...
Re: à propos de langue française...
bon j'en ai une autre de citation pour vous,rien que pour vous (quesque je ferais pas pour ce forum )
bon accrochez vous bien a votre fauteuil pesque ça décoiffe ^^ et lisés bien jusqu'au bout
"Le premier qui, ayant enclos un terrain, s’avisa de dire: Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d’horreurs n’eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables: Gardez-vous d’écouter cet imposteur; vous êtes perdus, si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n’est à personne. Mais il y a grande apparence, qu’alors les choses en étaient déjà venues au point de ne pouvoir plus durer comme elles étaient; car cette idée de propriété, dépendant de beaucoup d’idées antérieures qui n’ont pu naître que successivement, ne se forma pas tout d’un coup dans l’esprit humain. Il fallut faire bien des progrès, acquérir bien de l’industrie et des lumières, les transmettre et les augmenter d’âge en âge, avant que d’arriver à ce dernier terme de l’état de nature. Reprenons donc les choses de plus haut et tâchons de rassembler sous un seul point de vue cette lente succession d’événements et de connaissances, dans leur ordre le plus naturel.
Le premier sentiment de l’homme fut celui de son existence, son premier soin celui de sa conservation. Les productions de la terre lui fournissaient tous les secours nécessaires, l’instinct le porta à en faire usage. La faim, d’autres appétits lui faisant éprouver tour à tour diverses manières d’exister, il y en eut une qui l’invita à perpétuer son espèce; et ce penchant aveugle, dépourvu de tout sentiment du coeur, ne produisait qu’un acte purement animal. Le besoin satisfait, les deux sexes ne se reconnaissaient plus, et l’enfant même n’était plus rien à la mère sitôt qu’il pouvait se passer d’elle.
Telle fut la condition de l’homme naissant; telle fut la vie d’un animal borné d’abord aux pures sensations, et profitant à peine des dons que lui offrait la nature, loin de songer à lui rien arracher; mais il se présenta bientôt des difficultés, il fallut apprendre à les vaincre: la hauteur des arbres qui l’empêchaient d’atteindre à leurs fruits, la concurrence des animaux qui cherchaient à s’en nourrir, la férocité de ceux qui en voulaient à sa propre vie, tout l’obligea de s’appliquer aux exercices du corps; il fallut se rendre agile, vite à la course, vigoureux au combat. Les armes naturelles, qui sont les branches d’arbre et les pierres se trouvèrent bientôt sous sa main. Il apprit à surmonter les obstacles de la nature, à combattre au besoin les autres animaux, à disputer sa subsistance aux hommes mêmes, ou à se dédommager de ce qu’il fallait céder au plus fort.
A mesure que le genre humain s’étendit, les peines se multiplièrent avec les hommes. La différence des terrains, des climats, des saisons, put les forcer à en mettre dans leurs manières de vivre. Des années stériles, des hivers longs et rudes, des étés brûlants qui consument tout, exigèrent d’eux une nouvelle industrie. Le long de la mer, et les rivières, ils inventèrent la ligne et l’hameçon, et devinrent pêcheurs et ichtyophages. Dans les forêts ils se firent des arcs et des flèches, et devinrent chasseurs et guerriers. Dans les pays froids ils se couvrirent des peaux des bêtes qu’ils avaient tuées. Le tonnerre, un volcan, ou quelque heureux hasard, leur fit connaître le feu, nouvelle ressource contre la rigueur de l’hiver: ils apprirent à conserver cet élément, puis à le reproduire, et enfin à en préparer les viandes qu’auparavant ils dévoraient crues.
Cette application réitérée des êtres divers à lui-même, et les uns aux autres, dut naturellement engendrer dans l’esprit de l’homme les perceptions de certains rapports. Ces relations que nous exprimons par les mots de grand, de petit, de fort, de faible, de vite, de lent, de peureux, de hardi, et d’autres idées pareilles, comparées au besoin, et presque sans y songer, produisirent enfin chez lui quelque sorte de réflexion, ou plutôt une prudence machinale qui lui indiquait les précautions les plus nécessaires à sa sûreté..."
Jean-Jacque Rousseau
vous avez bien tout lu j'espère ^^ après et avant ya beaucoup de texte donc j'ai pas tout mis vous vous seriez ennuyer (si c'est pas déja le cas...mais logiquement si vous avez compris le texte ça devrait pas ce produire et si vous avez pas compris,concluons que vous etes simple d'esprit ,ça va ça va calmer vous j'ai dit "concluons" donc c'est pas obliger )
bon accrochez vous bien a votre fauteuil pesque ça décoiffe ^^ et lisés bien jusqu'au bout
"Le premier qui, ayant enclos un terrain, s’avisa de dire: Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d’horreurs n’eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables: Gardez-vous d’écouter cet imposteur; vous êtes perdus, si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n’est à personne. Mais il y a grande apparence, qu’alors les choses en étaient déjà venues au point de ne pouvoir plus durer comme elles étaient; car cette idée de propriété, dépendant de beaucoup d’idées antérieures qui n’ont pu naître que successivement, ne se forma pas tout d’un coup dans l’esprit humain. Il fallut faire bien des progrès, acquérir bien de l’industrie et des lumières, les transmettre et les augmenter d’âge en âge, avant que d’arriver à ce dernier terme de l’état de nature. Reprenons donc les choses de plus haut et tâchons de rassembler sous un seul point de vue cette lente succession d’événements et de connaissances, dans leur ordre le plus naturel.
Le premier sentiment de l’homme fut celui de son existence, son premier soin celui de sa conservation. Les productions de la terre lui fournissaient tous les secours nécessaires, l’instinct le porta à en faire usage. La faim, d’autres appétits lui faisant éprouver tour à tour diverses manières d’exister, il y en eut une qui l’invita à perpétuer son espèce; et ce penchant aveugle, dépourvu de tout sentiment du coeur, ne produisait qu’un acte purement animal. Le besoin satisfait, les deux sexes ne se reconnaissaient plus, et l’enfant même n’était plus rien à la mère sitôt qu’il pouvait se passer d’elle.
Telle fut la condition de l’homme naissant; telle fut la vie d’un animal borné d’abord aux pures sensations, et profitant à peine des dons que lui offrait la nature, loin de songer à lui rien arracher; mais il se présenta bientôt des difficultés, il fallut apprendre à les vaincre: la hauteur des arbres qui l’empêchaient d’atteindre à leurs fruits, la concurrence des animaux qui cherchaient à s’en nourrir, la férocité de ceux qui en voulaient à sa propre vie, tout l’obligea de s’appliquer aux exercices du corps; il fallut se rendre agile, vite à la course, vigoureux au combat. Les armes naturelles, qui sont les branches d’arbre et les pierres se trouvèrent bientôt sous sa main. Il apprit à surmonter les obstacles de la nature, à combattre au besoin les autres animaux, à disputer sa subsistance aux hommes mêmes, ou à se dédommager de ce qu’il fallait céder au plus fort.
A mesure que le genre humain s’étendit, les peines se multiplièrent avec les hommes. La différence des terrains, des climats, des saisons, put les forcer à en mettre dans leurs manières de vivre. Des années stériles, des hivers longs et rudes, des étés brûlants qui consument tout, exigèrent d’eux une nouvelle industrie. Le long de la mer, et les rivières, ils inventèrent la ligne et l’hameçon, et devinrent pêcheurs et ichtyophages. Dans les forêts ils se firent des arcs et des flèches, et devinrent chasseurs et guerriers. Dans les pays froids ils se couvrirent des peaux des bêtes qu’ils avaient tuées. Le tonnerre, un volcan, ou quelque heureux hasard, leur fit connaître le feu, nouvelle ressource contre la rigueur de l’hiver: ils apprirent à conserver cet élément, puis à le reproduire, et enfin à en préparer les viandes qu’auparavant ils dévoraient crues.
Cette application réitérée des êtres divers à lui-même, et les uns aux autres, dut naturellement engendrer dans l’esprit de l’homme les perceptions de certains rapports. Ces relations que nous exprimons par les mots de grand, de petit, de fort, de faible, de vite, de lent, de peureux, de hardi, et d’autres idées pareilles, comparées au besoin, et presque sans y songer, produisirent enfin chez lui quelque sorte de réflexion, ou plutôt une prudence machinale qui lui indiquait les précautions les plus nécessaires à sa sûreté..."
Jean-Jacque Rousseau
vous avez bien tout lu j'espère ^^ après et avant ya beaucoup de texte donc j'ai pas tout mis vous vous seriez ennuyer (si c'est pas déja le cas...mais logiquement si vous avez compris le texte ça devrait pas ce produire et si vous avez pas compris,concluons que vous etes simple d'esprit ,ça va ça va calmer vous j'ai dit "concluons" donc c'est pas obliger )
examinouz- Président de Fan-club
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Re: à propos de langue française...
Je suis désolé mais malgré moi,je suis trop flemmard pour lire ça donc je lirais quand j'aurais rien a faire :p
Tu peut pas abréger?
Tu peut pas abréger?
Samsoul- Chevalier de Ratatosk
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Re: à propos de langue française...
hem...nan ta qu'a lire xD
examinouz- Président de Fan-club
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Re: à propos de langue française...
Samsoul a écrit:Je suis désolé mais malgré moi,je suis trop flemmard pour lire ça donc je lirais quand j'aurais rien a faire :p
Tu peut pas abréger?
Idem pour moi XD
Re: à propos de langue française...
Ca décris l'évolution de l'homme au temps préhistorique... (Homme des cavernes quoi xD) Enfin, si j'ai bien compris O.o
Et c'est fait pour voir si vous êtes plutôt du genre à vous cassez la tête ou simple d'esprit... V'là
Et c'est fait pour voir si vous êtes plutôt du genre à vous cassez la tête ou simple d'esprit... V'là
Re: à propos de langue française...
Dis donc,t'es courageux pour lire tout ça toi
J'avoue que la préhistoire est intérressant ainsi que l'évolution de l'Homme donc jle lirais demain.
J'avoue que la préhistoire est intérressant ainsi que l'évolution de l'Homme donc jle lirais demain.
Samsoul- Chevalier de Ratatosk
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Re: à propos de langue française...
shushu je t'aimeeeeeeeu ...enfin quelqu'un qui lit mon texte et qui est pas trop simple d'esprit...oups j'ai fait une gaffe en disant ça? me regarder pas comme ça!
examinouz- Président de Fan-club
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Re: à propos de langue française...
Oullala c'y est je doute de toi
Samsoul- Chevalier de Ratatosk
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Re: à propos de langue française...
pourquoi? vieeeeeeen me faire un caliiiiiiiiin
XD
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examinouz- Président de Fan-club
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Re: à propos de langue française...
OOOh viens sur le chatbox et tu verras^^
Samsoul- Chevalier de Ratatosk
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Re: à propos de langue française...
examinouz a écrit:shushu je t'aimeeeeeeeu ...enfin quelqu'un qui lit mon texte et qui est pas trop simple d'esprit...oups j'ai fait une gaffe en disant ça? me regarder pas comme ça!
Ou un peu mazo lol
Re: à propos de langue française...
jvoi pas en quoi on est maso si on lit un texte,au contraire si on aime les mots ça peut etre un plaisir,des fois ça ncoule tout seul meme pas besoin de comprendre
examinouz- Président de Fan-club
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